Tempô entendit bien Gokû entrer dans la bibliothèque, mais il avait tellement l'habitude des allers-retours du petit singe qu'il ne leva les yeux de son livre qu'au bout de quelques minutes, constatant que l'enfant gardait un silence pour le moins inhabituel. Et comme il y avait une montagne d'autres ouvrages sur son bureau, il ne voyait guère qu'une mèche châtain dépasser au-dessus. (en même temps, pour une fois qu'il lisait assis à son bureau et non planqué par terre...)

- Et bien, Gokû, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as fait une bêtise ?

Il se leva et contourna son bureau en faisant attention à ne pas trébucher dans quelque ouvrage plus ou moins précieux et écrasa au passage sa cigarette dans le cendrier grenouille. Puis il baissa les yeux et vit une toute petite fille, presque encore un bébé, qui se cachait comme elle pouvait derrière Gokû, une fillette aux cheveux roses qui hasardait partout des yeux perdus. Quant au petit singe, il dardait sur Tempô un regard déterminé, qui en disait plus long que le peu de vocabulaire qu'il connaissait lui eût permis d'exprimer.

-Oh ! fit Tempô en s'agenouillant devant les deux enfants. Je vois.

*On dirait bien que la fille de Gojun a trouvé un moyen de s'échapper de sa prison... Il ne faut pas qu'ils remettent la main sur elle.*

Par "Ils", il entendait les sbires de l'Empereur Céleste, qui commençaient à vraiment mal voir la prolifération d'aberrations dans leur précieux Eden.
Il sourit et tendit à Suika une main amicale, juste à la bonne hauteur pour qu'elle puisse la prendre sans mal.

- Bonjour, princesse, lui dit-il doucement. Tu n'as pas besoin d'avoir peur de moi, si tu es une amie de Gokû.

Tempô serra les dents lorsque Suika le mordit, mais ne cria ni ne bougea pas. Au contraire, il continua de sourire doucement.

- Je ne te ferai pas de mal, ne t'inquiète pas.

Que ce qu'il venait de dire ait un sens ou pas pour elle, la fillette cessa de mordre et prit la main de Tempô entre les siennes.

*Qu'elles sont petites !* s'étonna le maréchal. *Il faut vraiment être bien cruel pour enfermer une enfant aussi jeune. Les dieux n'éprouvent donc pas de pitié ?*

Mais la petite lui sourit, et il lui rendit son sourire tout en enveloppant de sa main libre les deux menottes de l'enfant.

- Gokû, tu nous as ramené une bien charmante petite princesse !

[TADAAAAAAAAAAAAAAAAA]

Gokû avait emmené Suika chez Tempô, parce qu’il lui avait semblé que c’était une bonne idée. Et parce qu’il l’aimait bien, et qu’il aimait quand il lui apprenait des trucs où qu’il lui prêtait des livres avec un monsieur nikuman sauvant le monde. Et juste parce qu’il aimait Ten-chan, point barre. Voilà tout.
En plus, il savait que son ami s’entendrait bien avec la petite enfant aux cheveux roses. Et c’est ainsi que le singe débarqua dans le bureau rempli de livres, de livres, de livres, de livres et ah oui aussi, de livres. Enfin bref, il n’y avait quasiment que ça, car oui, il y avait aussi un cendrier, et même s’il était caché, le maréchal.
Vu qu’il ne disait rien, parce qu’il cherchait par quoi commencer, et qu’il ne savait pas beaucoup parler, Tempô sembla le remarquer, demandant au petit garçon ce qui lui arrivait, s’il avait fait une bêtise. Gokû se taisait. C’était tellement rare qu’il se taise, ça n’arrivait tellement jamais, que c’était bien un miracle que la voix chiante et beuglante du jeune garçon ne résonne pas en ce moment même.
Il regarda Tempô sortir miraculeusement de son bazar de livres et de feuilles et se mit à sourire quand il s’approcha, et s’agenouilla vers Suika et lui. Il appela la petite enfant, princesse, et qu’elle n’avait pas avoir peur de lui si elle était une amie de Gokû. Ben oui, elle était son amie ! Sinon il ne l’aurait pas emmené ici. Enfin, il se rendit compte que la petite enfant tellement mignonne mordait les doigts de Ten-chan qui n’avait rien fait à part l’accueillir chaleureusement, puis, elle changea de comportement, sûrement en s’apercevant que de toutes façon, le monsieur à lunettes ne lui ferait aucun mal, ce qui était vrai.
Son ami beaucoup plus grand que lui annonça alors à Gokû qu’il avait ramené une charmante petite princesse, ce qui ne put qu’embellir le sourire du singe, parce qu’il était tout content de lui. Il souriait un peu bêtement, mais ce n’était pas grave, cela ne faisait que le rendre encore plus mignon !

- Oui ! Oui ! T’as vu Ten-chan !

L’appelant par le surnom que Tempô lui avait permit d’utiliser, il continuait d’arborer un sourire, et regarda Suika aller se balader, grimpant un peu partout pour découvrir le monde livrique, mot qui n’existe pas mais que Gokû serait capable d’inventer.
Il la regarda, en haut de la pile de livre, et finit par s’affoler

- Eh ! Attention ! Tu pourrais te faire mal ! Descend !

Il était inquiet pour elle, comme un grand frère serait inquiet pour sa petite sœur, même si dans un sens, Gokû était très jeune. Il courut alors vers la pile de livre, tendant ses bras, enchainé, vers la petite fille

- Les livres ça tombent ! Et quand ça tombe ça fait « bouuum » et tu vas avoir mal et je veux pas et descend !

[ A qui de rep ? ]

[ Vu le post de Gokû, ce serait plutôt à toi...]

[ Désolé j'ai oublié ce topic hier soir... ]

- Oui ! Oui ! T’as vu Ten-chan ! s'exclama Gokû, visiblement tout fier de lui.

Entretemps, Mew était montée sur le bureau et faisait semblant de lire un livre, perchée sur une pile de livres... Bon, il fallait dire qu'à part des livres, un bureau, une chaise et un cendrier grenouille (non, ça ne se mange pas, les mégots...) il n'y avait pas une très grande variété d'objets dans le bureau (hum, pourtant à la base c'était bien son bureau, mais tout le monde disait "la bibliothèque", allez savoir pourquoi...). En attendant, Suika inquiétait Gokpu comme une petite soeur pouvait inquiéter son grand frère. C'était adorable.

- Eh ! Attention ! Tu pourrais te faire mal ! Descend ! disait le petit singe à la fillette.

Gokû courut au bureau et tendit les bras vers elle :

- Les livres ça tombe ! Et quand ça tombe ça fait « bouuum » et tu vas avoir mal et je veux pas et descend !

Ce devait être une argumentation très convaincante pour la petite, car elle sauta du bureau dans les bras tendus et câlina tendrement le petit singe... Pour une fillette qui était restée enfermée dans une cellule un bon moment, la petite Suika ne manquait pas de vie !

Tenpô s'approcha des deux enfants, se remit à leur niveau, c'est-à-dire qu'il s'accroupit de manière à avoir le visage à la hauteur des leurs. Il avait remarqué que Suika ne parlait pas, et il lui semblait probable qu'elle ne savait tout simplement pas... C'était cruel. Privée de parole, la petite était privé d'expression, privée de droit puisqu'elle se trouvait dans l'impossibilité de les énoncer. Le genre d'injustices du monde céleste que Tenpô ne supportait pas. Il ne pouvait pas ôter les chaînes des enfants. Mais il pouvait apprendre à Suika à parler. Il pouvait lui rendre un fragment de liberté, celle d'être comprise, et d'être entendue au moins de quelques uns. Il pointa un doigt vers Gokû.

- Lui, dit-il en s'adressant à la petite, c'est Gokû. Gokû.

Puis il posa l'index sur Suika.

- Toi, c'est Suika. Et moi, acheva-t-il en se désignant lui-même, c'est Ten-chan. D'accord ? Gokû -il montra Gokû- Suika -il la désigna- et Ten-chan -il retourna le doigt vers lui. Tu essaies ?

Ce que Tenpô n'avait pas prévu, c'est qu'il avait les lunettes à portée de main de Suika, maintenant.

[pas d'inspi ç_ç Gomen >O<]

Gokû qui était tout inquiet pour la petite Suika, espérait très fortement qu'elle ne se fasse pas mal, parce que lui, il aimait pas quand les gens ils se faisaient mal, c'était douloureux, et peut-être que la petite allait se mettre à pleurer, et bien sûr, le singe n'aimait pas les gens qui pleurent, ça pourrissait un peu beaucoup l'atmosphère et on ne savait jamais trop quoi faire quand les gens pleuraient, a part tenter de les arrêter avec des douces paroles que bien évidemment, le ouistiti ignorait. Soudain, l'enfant aux cheveux roses sembla lui sauter dans les bras, comme si elle l'attaquait, ou plutôt juste parce qu'elle l'avait écouté, ce qui dans un sens le rassura. Alors, le brun tenta de l’attraper de manière à bien la tenir et eut un petit sourire quand il sentit le contact de Suika dans ses bras, parce que c’était rigolo d’avoir un petit enfant dans ses bras. Et puis, il pouvait sentir les petits membres de la petite, et c’était encore plus amusant, pour un enfant qui dès sa naissance avait la taille d’un gamin de 9 ans, et qui n’avait donc jamais connu la taille plus petit que ça.

Il regarda Tempô s’approcher de lui et de la petite, et l’entendit parler à Suika en pointant le singe du doigt et en disant que lui c’était Gokû, répétant ainsi deux fois le nom du jeune garçon, puis, pointa Suika, la nommant, et se désigna en se présentant. Comme s’il voulait apprendre à la petite à parler. C’était dans un sens très intelligent, vu que comme ça, la petite allait pouvoir prononcer des mots au lieu de se taire et de juste comprendre – ou pas – ce qu’on lui disait. Mais le singe ignorait comment il pouvait aider le maréchal, et même, il en serait incapable, vu que lui aussi, apprenait tous juste à parler. Ainsi, il ne fit que regarder ce qui ce passait, tout souriant, tout content de lui, parce qu’il savait que Tempô prendrait super trop bien soin de l’enfant aux cheveux roses. Et puis après, il pourrait lire les livres sur les nikumans guerriers qui étaient super forts et trop bien ! A chacun sa manière d’apprendre à parler et à lire.

- Ouii ! Moi je suis Gokû !

Ah, qu’est ce qu’il aimait son nom. Après tout…Il avait tellement voulu en avoir un. Même s’il ignorait ce que cela signifiait.

Suika était toute contente de voir des personnes bouger, voir de la lumière, et plein d’objet, c’était trop bien pour elle, sa changer enfin de d’habitude ! Elle voyait tellement de chose en si peut de temps qu’elle était toute surexciter, ne pas être dans le noir enchainer était vraiment une chose merveilleuse, même si elle n’y connaissait rien, tout était amusant pour elle, si elle avait eu du vocabulaire et des connaissance elle aurait dit qu’elle deviendrait exploratrice, à commencer par le bureau et livre du maréchal, comme quoi. Mais elle était contente, il y avait un petit singe qui était plus grand qu’elle, c’était bien d’être dans les bras de quelqu’un, on touchait pas le sol c’était drôle ! Elle en profita d’ailleurs pour faire mumuse avec sa tignasse, car faut dire il en avait une belle, parfaite à papouiller, c’était mignon.

Puis le grand monsieur s’approcha d’eux et se méta à leur niveaux, elle pointa sa petite main en direction de son visage, et paf, toucher. Puis il se mit en parler en montrant lui aussi du doigt le petit singe et lui-même, et même elle, en prononçant des mots bizarres, qu’elle n’avait jamais entendu, d’ailleurs elle n’avait jamais rien entendu de sa vie avant qu’Homura la sorte de sa prison. Apparemment il y avait un mot pour elle, elle était un mot ? Elle ne le savait même pas, d’ailleurs elle savait même pas ce qui voulait dire, pas plus que les mots qui étaient pour les deux autres, les personnes étaient donc des son que le monsieur disait ? Elle le regarda bien faire, mot après l’autre, c’était amusant, elle le regarda et suivit son doigt des yeux, puis essaya de faire la même chose, montrant les deux autres du doigt.

« G … Gyouuu … Kouuuuuu …… Ten … Chhhhwaaaannn … »

Elle avait vraiment du mal à prononcer, mais elle essayer, fallait bien un début à tout après tout, même si elle ne se rendait pas compte que c’était pas parfait, elle les regarda comme si elle attendait qu’on la félicite ou la gronde, car elle ne savait pas si elle avait bien fait ou pas, puis elle se regarda en se pointant, se rappelant qu’elle aussi était un son.

« … Skuiiiiiii … Kya … »

Elle fit un grand sourire, elle aussi était un mot, puis elle s’approcha de Ten-chan et le regarda en faisait la moue intriguer, elle remit sa main sur la tête du monsieur, et oui il y avait bien quelque chose de bizarre, les lunettes, elle les prit et le regarda. Puis elle s’assit, ou plutôt tomba sur les fesses, et fit des têtes étranges en regardant sous tous les angles l’objets qu’elle venait de chiper, avant de ses les mettre sur la tête. Elle voyait tout flou et battait des mains pour essayer de se repéré, dans un effort olympique, elle se redressa légèrement avant de fini à quatre pattes, et marcha un peu à l’aveugle dans la pièce, faisant tomber des livres sur sa tête, et « boum » comme l’avait dit Gokû.

[ Désolé, c'est court... ]

Apparemment, Suika avait compris les intentions de Tenpô. Elle pointa successivement le doigt sur ses deux compagnons en articulant :

- G … Gyouuu … Kouuuuuu …… Ten … Chhhhwaaaannn …

*C'est difficile, hein ? Mais je te fais confiance, tu t'y feras.*

La petite se désigna.

- … Skuiiiiiii … Kya …

*Et bien ! Tu as tout compris on dirait !*

Puis la fillette sourit, fit une moue adorable et... attrapa les lunettes de Tenpô. Elle se laissa tomber, les examina, se les mit sur le nez. Après quelques applaudissements, elle entreprit de se promener avec et se cogna plusieurs fois.

*Je suis si myope que ça ?* se demanda Tenpô alors que Suika se prenait un livre sur la tête.

- Dis donc, Gokû, vous aimeriez peut-être manger quelque chose, tous les deux ? demanda-t-il en se tournant vers le singe.

[Petit clin d'oeil à Hakkaiounet parce que je veux lire mascarade u.u]

Gokû se demanda une chose. Ce fut furtif, ce fut même super court. Mais quand il était né, qu'il avait déjà son apparence qu'il avait actuellement, il savait aussi parler. Bon certes il n'employait pas des mots comme "jugulaire" ou "hirsute" ou encore "port alier" mais, il réussissait quand même à faire une phrase avec un mot, un sujet, un verbe et un complément d'objet direct, même si sûrement il ignorait ce que c'était. Il parvenait à s'exprimer, et dans un sens, c'était plutôt bien. Mais là, il allait pouvoir aider Suika à parler, même si peut-être n'était-il pas bon en matière d'enseignant, bah, il pouvait toujours essayer, au pire.

Bref, la petite Suika, pointa Gokû et Tempô du doigt, et sembla tenter de prononcer leur nom. Ah, et bien sûr, quel fut le premier mot qui sortit de la bouche de l'enfant ? Le nom du singe. Ce qui, dans un sens, aurait pu le flatter, s'il n'était pas aussi naïf que d'habitude. Bon, ça ressemblait à Gyoza, ce qui pouvait donc penser à de la nourriture, comme les héros qu'il voyait dans les livres de son ami à lunettes. L'enfant sembla réussir à prononcer la première partie du nom de Tempô, mais pas le seconde, même si cela rendait la petite fille tellement adorablement mignonne, tant qu'on avait envie de lui faire plein de papouille, de l'applaudir, d'avoir les larmes aux yeux, etc....

Mais. Gokû ne fit pas ça. Et il l'écouta tenter de prononcer son propre nom, en souriant tout joyeusement parce qu'elle parlait. Oui, elle avait réussi à ouvrir la bouche et à tenter de dire quelque chose, c'était super trop méga bien ! Dans quelques temps, peut-être saura-elle parler aussi couramment et vite que le singe, qui parfois n'arrivais plus à s'arrêter ? Et puis, la petite maligne sembla voler les lunettes de Tempô, retomber par terre, et aller se cogner un peu partout. Du coup, quand Suika alla s'assomer vers les livres, Gokû se dépêcha de sauter à la rescousse de l'enfant, qui se prit un livre. Ah, mais ça devait faire mal ! Il prit donc les lunettes qui étaient trop dangereuses pour la petite, et entendit Tempô parler d'aller manger, ah mais oui tout de suite ! Et puis, peut-être allait-il pouvoir montrer à Suika comment on mangeait, ce que c'était de manger, comment on disait, etc... le singe s'était transformé en une espèce de grand frère gagatique sur sa petite soeur. C'était dans un sens totalement adorable.

- Ah oui !

Il prit donc la main à la petite Suika, ses chaines firent un petit "gling gling", vu qu'elles bougèrent au mouvement du singe, mais il était tellement habitué à cela, qu'il ne le remarqua même pas

- Et puis, tes lunettes Ten-chan !

De la main encore libre, se tenait la paire de lunettes du maréchal, et donc, il tendit son bras qui refit un "cling cling" pour lui rendre, gardant dans l'autre main, la petite mimine de l'enfant.

[ Arrête, je vais croire que je t'ai traumatisée !!! ]

Tenpô prit les lunettes que Gokû lui tendait, il se sentait tout de même plus à l'aise avec que sans...

*Désolé, Suika-chan, mais j'en ai besoin...*

Puis il alla dans sa chambre, où il mettait les quelques réserves de nourriture qu'il conservait pour les jours, parfois les semaines, qu'il passait cloîtré dans sa bibliothèque avec ses livres adorés. En fait, tant que rien ne le forçait à sortir, les seuls moments où il quittait son bureau étaient ceux où il empruntait un certain passage secret qui menait... à une autre bibliothèque. On est bibliophile ou on ne l'est pas. Et Tenpô l'était plutôt deux fois qu'une.

Bref, Gokû était en totale adoration devant Suika, c'était vraiment trop chou, et Tenpô n'arrivait pas à cesser de sourire tellement il trouvait le spectacle touchant. En attendant, il avait trouvé trois boîtes de cookies dans un placard. Il vérifia à tout hasard qu'elles n'étaient pas périmées. Parce qu'il était très tête en l'air pour tout ce qui ne concernait pas les livres. Mais c'était bon, les cokies étaient mangeables.

- Je crois que j'ai trouvé le goûter, les enfants ! dit-il.

Puis il se baissa à nouveau à leur hauteur, ouvrit le premier paquet et tendit un biscuit à Suika en lui disant :

- ça, Suika-chan, c'est un gâteau.

[ wai deuxième page <3 ]

La petite Suika était donc toujours à fond sur son expédition, juste parce que c’était rigolo de marcher à quatre pattes lorsqu’on ne savait pas où on allait, c’était une nouvelle expérience amusante, même si elle se prenait des objets inconnus, car bien sur elle n’y voyait rien, puis a un moment elle sentit un truc tomber, mais elle n’eu rien, étrange, pourquoi donc ? Réponse son saveur le petit singe, qui était venu lui porter secourt dans sa fulgurante aventure dans le bureau du monsieur à qui elle avait voler les lunettes. Qu’il lui retira avant de lui prendre la main, c’était tout chaud, sa main était plus grande que la sienne, mais elle aimait bien cette sensation et ne pouvait s’empécher d’avoir un large sourire toute contente.


Puis apparemment Ten-chan parla de quelque chose, visiblement sa rendait Gokû content, alors bah elle aussi était contente, c’était comme son grand frère même si elle savait pas ce que c’était, mais s’il était content alors elle aussi, c’était comme ça. Mais lorsqu’il bougeait y’avait un bruit bizarre, elle regarda donc partout autour d’elle, un doigt dans sa bouche comme lorsqu’on se pose une question, puis après n’avoir rien trouver sur la provenance du bruit, elle regarda les poignets de son ami, c’était les machins tout gris qui faisaient du bruit, elle les fixa, puis fixa Gokû pour savoir ce que c’était, pourquoi il avait ça, c’était bizarre, Ten-chan avait pas ça lui.

« … Nyuuu … »


Elle regarda Ten-chan et Goku l’un après l’autre, ce demandant ce qu’ils allaient voir de merveilleux maintenant, elle n’y connaissait rien après tout, au monde en dehors de sa cage. Puis Ten-chan y partit dans une pièce, alors Suika resta à coté de Goku, en le tenant par le bras de sa main libre, le monsieur aux yeux verrons était lui aussi partit, et il n’était jamais revenu, Ten chan allait il partir sans revenir aussi ? Elle voulait pas, ça lui faisait peur et la rendait triste.


Mais finalement il revient, elle fit un grand sourire toute contente, il n’avait pas disparut, par contre il lui tendit un morceaux marron tout rond, c’était bizarre, elle le regarda mettant son doigt dans sa bouche puis regarda Ten-chan, se demandant ce qu’elle devait faire avec, et elle regarda ensuite Goku, au cas où, elle le prit et le regarda, tout en continuant de tenir la main de Goku, en fixant le gâteau elle essayant de prononcer le son qui était le sien.

« ... Gyaaaa … touuuu … »

Elle les regarda se demandant si c'était juste et surtout à quoi cela pouvait bien servir.

[ En fait, ce topic, c'est kawaï-powa ^^ Bon vous me pardonnerez le passage lyrique et la fin consternante, j'espère ^^ ]

- ... Gyaaaa … touuuu …

Tenpô sourit. Elle se débrouillait bien ! Elle prit le gâteau, et le regarda d'un air perplexe tandis que le maréchal, qui en cet instant avait plus l'air d'un instituteur de maternelle que d'un maréchal, sortait un autre gâteau pour Gokû.

*Tu ne sais même pas ce que c'est, hein ? Ils ne t'ont sans doute jamais donné à manger dans ta cellule...*

Une vague de tristesse l'envahit. Comment pouvait-on être cruel à ce point ? Ces enfants qu'il avait face à lui, pourquoi ne pouvaient-ils vivre tout simplement libres ? Tenpô avait toujours cru que l'éducation était un droit au même titre que la vie et la liberté. Ce n'était pas l'avis du Monde Céleste, cet endroit éternel, figé, maudit, immuable et intolérant. Si Tenpô l'avait pu, il serait descendu définitivement dans le monde d'en bas, et aurait entrepris de visiter toutes les bibliothèques pour lire tous les livres du monde. Mais il ne pouvait pas. Parce que dans le monde céleste, il y avait ceux auxquels il tenait. Ils n'étaient pas nombreux, certes. Kenren d'abord, Kenren toujours, ce général agité, insolent, et tellement irréfléchi qu'il était prêt à jouer les Zorros comme le dernier des imbéciles... Mais dont la générosité, le courage et la candeur frisaient l'irraisonnable. Konzen aussi. C'aurait pu être le type le plus ennuyeux de la galaxie, mais il y avait en lui quelque chose qui aspirait à vivre. Quelque chose que Gokû avait réveillé en arrivant dans le monde céleste. Et Gokû, justement. L'adorable petit singe plein de vie que l'on avait arraché à une existence douce et paisible pour lui passer des chaînes aux mains et aux pieds et l'emmener de force dans un endroit hostile et plein d'ennemis. Il y avait encore le prince Nataku, que Tenpô brûlait d'aider et que son impuissance faisait enrager. Et maintenant...

Il posa les yeux sur la petite Suika.

*Pour toi aussi, j'aimerai faire quelque chose.*

Et, dans un élan d'une rage triste mêlée de découragement, il prit un cookie pour lui-même et mordit dedans. Sur le coup, c'est ce qu'il avait de mieux à faire.

[Désolé d'pas avoir répondu hier soir, mais le sommeil m'a rattrapé et j'entendais ls bruits de mes parents, alors je voulais pas m'faire tuer u_u]

Gokû laissa Tenpô reprendre ses lunettes, en tenant toujours la main de Suika, et d'ailleurs, entendit la petite faire un son assez étrange, ressemblant à "Nyu". Il trouva cela bizarre, et regarda l'homme aux lunettes partir ailleurs, chercher on ne sait quoi, sûrement de la nourriture, parce qu'il avait parler de manger, gardant la main de l'enfant,il attendit, se demandant vraiment comment Tenpô pouvait trouver quelque chose dans tout ce bazar de livres de livres et de livres. Mais il devait avoir l'habitude. Puis il revint avec une boite, en annonçant que c'était l'heure du goûter. Sortant alors des cookies, il annonça à Suika que ça c'était un gâteau, et la petite sembla tenter de répèter ce que le maréchal venait de lui dire, même si ce n'était pas tout à fait ça, même si elle semblait avoir du mal, Gokû l'a trouvait tellement adorable, qu'il eut un petit rire un peu stupide, juste de joie, juste parce qu'il savait qu'elle allait y arriver un jour ou l'autre. Juste parce qu'il trouvait ça juste tout simplement mignon.

Il s'aperçu que Tenpô lui tendait un cookie à lui, et le prit, remerciant en souriant son ami, tout content de pouvoir lui aussi avoir un cookie, il commença à le manger, et regarda l'enfant, puis lui montra son propre gâteau en disant

- C'est un cookie ! Un gâteau cookie !

Il n'arrangeait pas trop les choses dans un sens, car si la petite avait déjà du mal à prononcé gâteau, elle en aurait sûrement aussi pour prononcé "kouki". Mais Gokû était trop naïf et ignorait trop de choses pour s'occuper aussi bien des enfants que Tenpô, vu que dans un sens, lui même était un enfant. Même s'il savait plus de chose que Suika. S'il avait fait ça, c'est parce qu'il voulait voir comment la petite allait le prononcer, juste parce que c'était super trop mignon, et qu'il aimait bien, qu'il trouvait ça rigolo, et que peut-être ça allait l'aider. Il croqua dans son cookie à cette penser, et le trouva toujours aussi bon qu'un bon cookie. Ah, c'est bons les gâteaux.

[ Oweee !!! Kawaï !!! ]

La petite fille regarda ses deux amis et son gâteau, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle vit le maréchal le mettre dans sa bouche et le casser, et son ami le singe fit de même en lui montrant le sien, et en lui disant d’autre son que « Gâteau », ha bon ? C’était pas juste le son gâteau ? Y’en avait donc un autre ? Un cookie ? Elle regarda donc son cookie et ouvra grand la bouche pour le mettre dedans et paf, elle croqua dedans pour le casser aussi. Sbam ! Pour la première fois de sa courte vie, elle eu le gout de quelque chose dans sa bouche, une toute nouvelle sensation qu’elle ne connaissait absolument pas, comme c’était bon !!! Elle en fondait, ses joues devenaient toutes rouges, elle était aux anges, c’était bon ! Ça bien sur elle ne savait pas, et encore moins le dire, mais à la fin de sa boucher elle regarda ses deux amis et brandit le cookie fièrement.


« Guaaaaa … tôoooooo ! … Kouuuuuu … Kiiiie ! »


Puis toute sourire elle regarda la moitié de son gâteau restant, se disant que c’était bon, mais c’était triste, car elle remarqua un fait physique et inchangeable, le cookie était maintenant plus petit !!! Comment c’était possible ? Elle fut en panique un moment pensant qu’un truc horrible était arriver à se pauvre cookie !!! Puis elle regarda Ten-chan et Gokû chan et eux aussi leur cookie rétrécie, enfaite en le cassant y devenait donc plus petit, wahou, on en apprend des choses en une journée, lorsqu’un truc ce casse et reste dans la bouche, ça rétrécit, enfin pour le moment c’ est-ce qu’elle avait comprit. Mais le réflexe humain, ou enfantin, fut que lorsqu’elle eu fini de dévorer se pauvre petit cookie innocent, elle le chercha un moment, puis lorsqu’elle réalisa la triste fin qu’elle lui avait fait subir pour avoir le gout tout rigolo dans la bouche, elle fit la moue, ha pu cookie …

- C'est un cookie ! Un gâteau cookie !

Gokû avait l'air tout heureux. Il avait un cookie et une petite soeurette toute mignonne à protéger, ça semblait très bien lui aller.
Après un bon moment de perplexité, Suika comprit comment manger son cookie, puis à avaler la première bouchée de sa vie, et tendit fièrement son trophée (un cookie avec une bouchée en moins)

- Guaaaaa … tôoooooo ! … Kouuuuuu … Kiiiie !
- Bravo, Suika-chan ! dit Tenpô en applaudissant la fillette.

Elle n'eut aucun problème à finir le sien, et Tenpô non plus, car de livre en livre il avait complètement oublié à quand remontait son dernier repas... Le genre de détail pour lequel Kenren avait l'habitude de lui faire un petit discours consterné sur la nécessité de manger, de dormir et de boire de temps en temps. Au demeurant, tant que Tenpô n'était ni à cours de livres, ni à court de clopes (ce second cas était rare, et en général Kenren en avait à lui refiler) bien peu lui importait. Mais en l'occurrence et parce que le cookie avait réveillé son estomac, il avait un peu faim. Donc, il avait fini son cookie aussi vite que les enfants, fait assez rare somme toute.

Suika regardait ses mains en cherchant son cookie, puis fit la moue. Le message était très clair. Tenpô sortit un gâteau de la boîte et le lui tendit.
- Ne fais pas cette tête, il y en a d'autres ! Tu en veux un aussi, Gokû ?

[Je veux un cookie. <= *viens de manger à un restau italien, mais bon*]

Gokû espérait qu'il réussirait à bien s'occuper de la petite Suika, que grâce à lui, elle prononcerait pleins pleins de mots, et qu'après ils pourrait entamer pleins de conversations avec elle, et puis sûrement que Tenpô allait lui apprendre à lire, alors après, il pourrait discuter des nikumans tapant les méchants boule de pâte qui veulent détruire le monde ! Enfin, il espérait aussi que ça lui plairait, parce que peut-être qu'elle n'aimera pas ce genre d'histoire aussi. Bref, la petite enfant sembla tenter de manger le cookie, et aussi de prononcer ce que le singe avait tenté de lui apprendre, et ce fut avec joie et bonheur pour le ouistiti qu'elle parvenu à prononcer le nom du gâteau, ce qui fit quasiment pleurer de joie le brun, qui croqua un bon coup dans son propre cookie. Suika sembla déçue de ne plus avoir de cookie, et donc, Ten-chan retendit un cookie à la petite, demandant à Gokû s'il en revoulait un. Tiens, pourquoi pas ! Après tout c'était tellement bon, et tellement agréable à manger, que c'était quasiment impossible de refuser un cookie. Sauf pour ceux qui n'aimaient pas ce qu'il y a dedans.

- Oui j'en reveux bien un !

Dit-il avec un grand sourire, tellement heureux d'être là, avec la petite Suika, et Tenpô, se disant qu'après il raconterait tout ça à Konzen, qui sûrement allait encore l'écouter à moitié, trop plongé dans ses signatures de papier, et que aussi, il le raconterait à Nataku quand il le verrait, et que de toute façon, il le raconterait à tout le monde, que Suika était trop mignonne était toute petite, qu'elle avait des toutes petites mains, que son premier mot c'était Gokû, qu'elle était super intelligente, que bientôt il lui apprendrait une tonne de truc, etc, etc... Sûrement qu'il allait blablater pendant des heureux, mais juste parce qu'il était tout content. Parce qu'il aimait ses amis. Parce que ça lui permettait d'oublier les dieux qui le regardaient avec mépris, que ça lui ferait oublier ses chaines qui font toujours gling gling, et qui ont la couleur de la tristesse et de la solitude.

Suika était toute fière lorsque Ten-chan l’applaudît, toute contente d’elle-même et ce qu’elle faisait, soit à ce moment brandir un fière morceaux de cookie avec le sourire, peut être que c’était elle qui avait inspiré la pause de la statue de la liberté après tout. Puis lorsqu’elle fit une petite tête parce qu’elle l’avait fini, monsieur lunette arriva à la rescousse, avec un gros machin avec plein de cookie !!! Elle lui fit un grand sourire et hésita un petit moment avant d’en prendre un et de le savourer, comment dire non après tout, surtout lorsque vous manger pour la première fois.


« Nyaaaaaaa … »


Poussa-t-elle satisfaite du gout et de la sensation du cookie dans la bouche, comment c’était trop bon tout ça, pour la peine, elle en reprit un encore, c’était trop bon, finalement cela serait ça, son petit pécher mignon. Si durant sa vie en prison, elle avait pu manger, la vie aurait été surement moins triste. Mais pour le moment elle savourer son cookie boucher par boucher, si elle pouvait communiquer, elle aurait voulu savoir s’il y avait d’autre truc bon à manger, car faut dire, la seul chose qu’elle avait gouté avant les cookie était les mégots dans le cendrier rigolo lorsqu’elle était sur le bureau.


Puis elle regarda ce qui restait dans la boite, elle réfléchit un moment, fit une petite moue pleine de question et se décida à prendre deux cookie dans la boite ! Elle en tendit un à Gokû et un à Ten-chan, peut être qu’ils aimaient ça autant qu’elle, et qu’ils en voulaient eux aussi.

[ Désolé, c'est court... ]

- Oui j'en reveux bien un !

Ce qui porta à deux le nombre de cookies consommés par personne. Et Suika avait l'air d'apprécier la chose au plus haut point. La preuve, c'est qu'elle se servait à présent toute seule dans la boîte. Entre les cookies et elle commençait une grande histoire d'amour.

Tellement même qu'après une petite moue interrogatrice, elle tendit la main vers la boîte, en tira deux cookies et les donna respectivement à Tenpô et Gokû.

- Arigato gosaimasu, Suika-chan ! dit le maréchal en prenant le biscuit. Au fait, Gokû... Tu veux bien me promettre quelque chose ? Personne ne doit savoir que Suika est ici. Il y a des gens qui lui veulent du mal, et s'ils apprennent qu'elle est là, ils viendront et je ne pourrais pas forcément les empêcher de lui faire du mal s'ils sont trop nombreux. Tu ne peux parler d'elle qu'à Konzen et Kenren. Et à personne d'autre. Promis ?

Il souriait, toujours, sans pouvoir s'en empêcher, parce qu'il n'y avait pas à s'en empêcher. Il fallait sourire, parce que c'était bien d'être heureux, c'était bon pour la santé. Alors les lèvres de Gokû formaient un sourire. Il regarda Suika faire un petit bruit en mangeant un cookie, et remarqua qu'elle lui en tendit un, alors qu'il avait déjà entamé son deuxième cookie, il trouva ça tellement rigolo, qu'il le prit, et le garda, pendant qu'il mangeait l'autre déjà bientôt terminé. C'était tellement bon les cookies. Non en fait, pour aller plus vite, c'était tellement bon les sucreries !

Tenpô s'adressa alors à Gokû, lui demandant de lui promettre quelque chose. Ah, quoi donc ? Que personne ne devait savoir que Suika était ici. Parce qu'il y a des gens qui lui voulaient du mal, que ça allait être terrible s'ils apprenaient qu'elle était ici, et que Ten-chan ne pourrait pas forcément les empêcher de faire du mal à la petite, alors qu'il ne pourrait parler d'elle qu'à Konzen et Kenren, mais à personne d'autre. Le singe qui savait très bien qu'est ce que c'était embêtant quand on était poursuivi, vu le nombre de bêtises qu'il faisait au monde céleste, savait aussi qu'il ne voulait pas faire souffrir la petite, ni Ten-chan, ni même personne. Alors il obéirait à son ami, il ne parlerait de Suika à personne, sauf à ceux que le maréchal avait cité. Donc, dans sa liste de ceux à qui il voulait en parler, il lui suffisait d'ôter Nataku pour qu'il ne reste plus que ceux à qui il peut en parler.

- D'accord, c'est promis !

S'il y avait bien une bêtise qu'il ne ferait jamais, c'était ça, alors. Et après avoir promis, il croqua dans son cookie, un air à demi sérieux, juste déterminé à tenir sa promesse, puis, il reprit son sourire tout naïf, et regarda Suika

- C'est bon les gâteaux hein ? T'as vu ? Et y en a pleins d'autres qui existent ! Et y a pas que les cookies !

(Sur ce, je vais dormir. A demain soir :3)

Suika était toute contente, ils avaient tout deux prit les cookies qu’elle leur donnait, c’était la première fois qu’elle donnait quelque chose à quelqu’un, enfin bien que ce n’était pas à elle, mais elle était contente de pouvoir comme même leur donner et surtout qu’il accepte. Et en même temps qu’ils mangèrent leur cookie, Ten-chan prononça tous pleins de son qu’elle comprenait pas, mais elle se dit que c’était important apparemment, dommage qu’elle pouvait pas comprendre, elle le regarda pendant qu’il parlait, cherchant à savoir de quoi il parlait, bien qu’elle ne pouvait pas.


Mais elle souriait tout le temps, parce qu’elle voyait Gokû sourire, alors elle faisait tout pareille, puis il la regarda en lui parlant, elle reconnut le mot gâteau et cookie. Elle fit donc une tête toute contente sans tout comprendre, mais il parlait des machins tout bon qu’elle mettait dans sa bouche alors ça pouvait qu’être bien ! Elle serra la main de son ami et ne put s’empécher de la balancer par l’effet de la joie qu’elle avait, et elle répéta les mots qu’elle connaissait parce qu’elle était joyeuse et qu’elle avait envie.


« Gyoku !!! Ten-chwan !!! Gyatou !!! Kouki !!! »