[BUHIIIII >O< ! On va dire que sanzo et gokû sont déjà à l’auberge hein u_u ça m’évite de jouer sanzo dans mon post XD]
Ce qui était bien d’être avec moine blond qui recevait des missions de ça de là en permanence, c’était que quand on était un singe totalement surexcité, il se trouvait qu’on suivait partout ce dit moine quelques peu dépravé dans toutes ses aventures et qu’on finissait toujours par aller dans des supers bonnes auberges ou on pouvait manger à satiété. Bon, des fois on se prenait des coups d’éventails en papier, et il fallait avouer que c’était un peu douloureux pour la tête, mais au moins, quand on était un singe ressemblant aussi à un chien parce qu’on a tout le temps besoin de jouer et de courir partout, c’était très bien de voyager. Même s’il y avait les inconvénients du sale caractère du dit blond.
Allez, appelons le blond Genjyô Sanzô et le singe à moitié chien Son Gokû, ça ira très bien.
Bref, voilà que les deux arrivent à une auberge parce qu’ils n’ont pas eut le temps d’arriver là où ils devaient aller, et le bonze va se coucher dans sa chambre lire son journal, laissant le macaque tout seul. Mais aujourd’hui, le singe n’était pas formidablement heureux de voyager. Tout ça était la cause d’une masse blanche qu’on nommait la neige. Celle-ci l’effrayait parce qu’elle recouvrait tout, enfin, il fallait dire que lorsqu’il avait été enfermé 500 ans dans une cage, passer 500 hivers tous seuls ça fait quand même environ 1 500 mois de neige et de silence…Alors, même si ses amis avaient réussis à calmer un peu sa peur, ils n’y étaient pas parvenus jusqu’au bout et aujourd’hui, Gokû n’irait pas courir dans la neige.
Mais malgré le temps, il n’empêchait qu’il avait très faim. Comme d’habitude. Encore une séquelle de ces années d’emprisonnement. Ainsi, il sortit de la chambre, essayant de calmer son ventre qui réclamait déjà à manger, et se dirigea vers le monsieur aubergiste qui semblait être entrain de faire quelque chose de bon à manger dans sa cuisine ouverte :
- Ça à l’air super bon ! Aaah mais c’est du sukiyaki ! C’est super booon !
L’autre le regarda, lui montra un monsieur assis au coin d’une fenêtre entrain de fumer, lui disant que c’était pour lui. Gokû qui était juste un con de singe ne pensant qu’à la bouffe ne put s’empêcher de demander :
- Aaaaah je peux en manger aussi ?!
Et il était tout sourire, se demandant qui allait répondre entre le monsieur cuisinier et le monsieur vers la fenêtre