La jeune maman ne pouvait s'empêcher d'avoir un tendre sourire sur les lèvres en voyant Gokû jouer avec ses enfants, et en plus les enfants avaient l'air de déjà aimer leur « grand frère » dire qu'il y a 400 ans de cela, c'était elle la petite sœur de Gokû, comme quoi rien est impossible dans ce monde remplit de chose improbable et surréaliste. Enfin le plus drôle était quand même de voir le pauvre grand bonze Sanzô prit au piège et obligé d'accepter des choses qu'il n'accepterait jamais en temps normal, il était presque à plaindre, j'ai bien dit presque, car cela arranger grandement notre cher Mew de rester avec les hommes de sa vie et ses enfants.

« Ne t'en fais pas Sanzô, même si Kô à sa fierté comme toi, il sera bien obliger d'accepter, il a maintenant une dette envers vous puisque vous protégez ses fils. »

Si Shôryu jouait avec Hakkuryu et Gokû, Renki lui, comme s'il avait comprit le bonze aux yeux de cockers, il se colla contre lui comme pour lui faire un câlin, c'est'y pas trop mignon ? Le côté méchant du moine peu orthodoxe n'avait visiblement pas l'air de déranger le petit dernier de la ligné. Quand à Enki … si son père n'était pas le prince, il aurait surement prit Gôjyô pour jouer le rôle, car visiblement il n'était pas prêt de vouloir aller dans les bras de quelqu'un d'autre que du Kappa, qui le sourire au lèvres et en rigolant se laissait porter par lui. Mew sourit face à ses scènes si adorable, mais ce dit que le pauvre Kôgaïji lui ne pouvait même pas profiter de ses enfants … Tant pis pour lui, enfin non c'était triste quand même, surtout que c'était ses ennemies qui s'en occupaient à sa place. Mais évitons de penser à des choses déprimantes, elle regarda et lui lança un sourire de remerciement, car il était sûr que c'était lui qui avait le plus gros moyen de pression sur le pauvre bonze.

« Au faite, en prennant en compte qu'il y a un traitre chez les Sanzô, la trinité boudhique qui est cencé tout suivre, elle est au courant ? »

[ Au faite j'ai un gros doute, Sanzô il a combien de sutra ? ]

[Bah, normalement Sanzô en à deux. Le Ciel Maléfique et l’ouverture du ciel et de la terre…]

Sanzô, tout en tenant le bébé, regarda Mew et lui répondit :

- Je ne les protège pas, ne te méprend pas. Si je fais ça c'est pour avoir la paix avec les trois autres.

Vraiment....Dans quoi il venait de s'embarquer ? Une dette ? Oui, sans doute, voilà une phrase que le blond n'allait pas oublier même si cela lui broyait le ventre d'y penser.
Tss...Il a intérêt à y penser le moment venu.
Mew venait de parler de traitre, et le moine la regarda, fixement.

- Ce n'est pas mon problème initial. Après tout ils n'ont qu'à le régler eux-mêmes.

Gojyo avait prit l'un des mômes dans les bras et s'était exclamé. Le faux moine regarda le rouge d'un coin de l'œil et eut une petite veine sur l'une de ses tempes mais ne fit aucune remarque. Il se leva finalement, pour sortir de l'auberge et prendre un peu l'air. Il y avait maintenant beaucoup trop d'agitation et de bruit pour lui, de plus il avait envie de fumer et, il n’avait plus de clopes. Détail qu’il ne fallait pas oublier d’ailleurs….

Genjô se leva, sans rien ajouter de plus, il sortit de l’auberge, tranquillement. Là il s'adossa sur l'un des murs, leva la tête vers le ciel et regarda celui-ci.

[Court post, sorry]

[ C'est bien ce que je pensais, juste dans le hors sujet avec Homura ou y'a des trop de sutra]

[c'est à moi ?]

[Ben au total y a 5 sutras O_o d'après le tome 6 y a , le ciel pur, le ciel maléfique, le sutra du ciel immuable, le sutra du ciel de l'existence et le sutra du ciel de néant, après pour la réponse je m'en occupe demain]

[Homura a les 5 a la fin, comment il a chopper celui de Nî ? Une passion pour éventré les lapins en peluches ? XD *sort, homura c'est un HS* ]

[Il les a pas les 5, vu qu'il dit que Zenon, Shien et lui même servent à remplacer les sutras qu'il n'a pas.]

Tout le monde était heureux. Parce que l'accord donné par Sanzô était des plus fabuleux. Le singe sautillait à moitié, regardant le petit bébé avec son sourire toujours autant élastique. Shoryu ressemblait plus à son papa, mais il avait des airs de sa maman.
Seulement ça, Gokû s'en rendait-il compte ? Il ne se souvenait même plus qu'avant Suika/Mew était sa petite sœur chérie, et qu'il gagatisait dessus autant qu'il gagatisait sur les bambins déposé chacun dans les bras d'une personne.
Le ouistiti n'écoutait plus personne, trop en admiration devant les petits. Surtout que franchement, Shoryu était vraiment adorable. Même si sûrement que pour moi il ressemblerait juste à un bébé. Les bébés ça ressemble toujours à un bébé, alors je comprends pas pourquoi on gagatise dessus...De plus c'est moche un bébé...Mais si mignon à la fois, qu'on ne peut que trouver ça charmant. C’est plus fort que nous.

Sanzô sembla s'en aller, et Gokû le voyant, lui prit le bambin tout mignon qu'il tenait dans ses bras. L'autre ne sembla pas protester, ou tout du moins ne fit aucune remarque, et le brun le porta, presque correctement tout en allant s'asseoir sur le lit. Le bonze faisait bien ce qu'il voulait, le singe souhaitait le bébé !

- C'est léger !

Fut la seule chose que le singe trouva à dire, et ce n'était même pas intelligent. Mais lui aussi était heureux de pouvoir garder les bébés - et Mew il ne fallait pas l'oublier - pendant quelques temps. Alors que le blond fasse la tête ou ne soit pas d'accord, importait peu le chimpanzé.

[Ha wai, exacte, le lapin est donc sauf XD et il ne manque qu'un sutra alors.]

La jeune maman sourit face au remarque du bonze un peu bourru, qui devait supporter la présence des trois enfants et d'une femme, en plus de ses autres compagnon, bien que Hakkaï était peut être celui qui le dérangeait le moins, quoi que avec le coup de pression invisible qu'il venait de lui faire en le forçant à accepter la présence des nouveaux venu, changerait peut être la donne, mais un court moment surement. Mais ensuite le faite qu'il dit que ce n'était pas son problème dérangea quelque peut la jeune fille, faut dire que le traite était un ancien ami de Komyo et pire, son ancien élève tout comme l'était Genjô Sanzô, mais visiblement il n'était pas d'humeur à en parler et sortit dehors.

« Sanzô ... »

La jeune fille ne se souvenait que d'une partie de son passé, par de tout hélas, sinon elle pourrait sourire d'une grande nostalgie en voyant que son ancien grand frère Gokû n'avait absolument pas changé, enfin il avait quand même un peu grandit et avait les cheveux plus court, ce qui était peut être dommage d'ailleurs, mais il s'occupait des plus petits de la même façon et toujours avec amour et attention, et il était totalement perdu dans un état de gagatisation très pousser sur les bébés.

D'ailleurs il fini par avoir l'objet (?!) de sa convoitise, le fameux bébé que Sanzô avait eu dans les bras, ni lui ni elle ne trouva une objection à ce que Gokû puisse le tenir quelque temps dans le bas, surtout qu'il le tenait de manière correcte, sans le secouer partout ou autre danger. Elle sourit à la remarque de celui-ci face au poids du petit bébé, faut dire que lui lorsqu'il était petit, n'avait pas eu la chance d'être léger à cause de ses chaines, et il n'avait d'ailleurs pas eu la chance d'être à l'état de bébé, elle profita du faite que le petit singe c'était assit sur le lit pour lui caresser tendrement la tête.

« Et oui, c'est tout léger et c'est aussi pour ça que c'est fragile. »

Puis elle regarde Gôjyô qui était d'une tranquillité sans nom avec un enfant dans les bras, peut être qu'il devrait se reconvertir dans la garderie ? En tout cas il ne risquait pas de se prendre des coups de Harisen s'il était aussi calme c'était déjà un bon point, quand à Hakkaï, rien ne changeait, toujours l'homme parfait en tout point, dommages que ses bons côtés et son calme olympien ne déteignait pas plus sur les trois autres, enfin si cela pouvait déteindre au moins sur son fils qu'il tenait ça serait déjà quelque chose de bien, car s'il prenait les gênes du père …

Qu'importe, la jeune fille décida de faire quelque chose de risqué, parler à Sanzô, mais elle avait envie de savoir ce qu'il se rappelait de Ukoku, et elle avait aussi envie de se souvenir de son enfance, était donner qu'elle l'avait connu peut être, s'il lui en parlait elle s'en rappellerait totalement et les zones flou disparaitrait ainsi. Elle dit donc au autre qu'elle allait faire un tour en demanda une cigarette au Kappa et sortit rejoindre le bonze au sourire ensorcelant (ironique). Elle regarda dehors avant de l'apercevoir contre un mur, elle lui mit la cigarette devant les yeux et lui sourit.

« On joue les beaux blonds ténébreux ? Elle baissa la tête. Désolé de t'imposer ça, mais je voulais savoir … Tu te souviens du bonze hérétique ? Tu dis que ce n'est pas tes affaires … mais le traitre est lui aussi un élève de Komyo ... »

[nyu]